His name is Kap… Andy Kap.

Salut la foule ! Moi c’est Eugène. Eugène Touhapa. Vous allez apprendre à me connaître sous peu (à l’oignon, euh ?) puisque le créateur de ce blog, mon pote (même pas au feu !) Kap, Andy de son prénom, m’a proposé – l’inconscient ! – de le rejoindre en tant que contributeur dans ce déconnoir virtuel et comme vous me lisez en ce moment même (oui, je vous vois !), c’est que ce n’est pas, vous vous en doutez, tombé dans un trou (noir, vert, de mémoire ou de bal populaire) ni dans l’oreille d’un sourd.

À ce propos, me disait une amie muette habitant près de la porte homonyme à Paris (et qui a « de la conversation »), il faudrait éviter de balancer ou laisser choir n’importe quoi dans les esgourdes des malentendants, parce qu’ils ont déjà assez de mal à nous comprendre (oh, oui ! prends-le moi !) sans cela. Elle évoquait alors avec ce "nous" principalement ses congénères, ceux qui ne dérangent les orphelines que pendant leurs vacances, et vous allez voir que pour une fois que je fais un jeu de mots avec de la culture dedans, personne ne va rien entraver !

Mais revenons à nos moutons !

(Entre parenthèses – je le précise pour le cas où vous ne l’auriez pas remarqué et surtout si vous ne connaissez rien à la typographie ! – c’est un animal – le mouton, suivez bon sang ! – que tout le monde semble posséder en plusieurs exemplaires – l’aîné est pour moi plus intéressant que l’haineux mais moins que le cadet – et dont on s’écarte pourtant régulièrement. Nez en plus^[1], si vous planquez les vôtres sous un lit, un bon conseil : changez de cachette ! J’avais la même et les miens ont disparu la dernière fois que la fée du logis est passée dans ma chambre ! D’ailleurs, je ne suis plus bien sûr qu’il s’agissait d’une fée – Bril ? Cal ? Licitée ? – car il me semble que ce sont plutôt les sorcières qui, armées d’un balais  – elle l’était la mienne ! – en chevauchent le manche et s’envolent dans le ciel, septième du nom, ou encore s’envoient en l’air, ce qui revient à peu près au même tout en étant – Jane, Peter, Bridget – fondamentalement différent – ah, les fondements et fonds d’amants tôt, c’est essentiel^[2] ! – et les jeunes femmes au physique agréable qui voudraient approfondir – oh ! oui, encore ! – la question peuvent évidemment me contacter pour une démonstration pratique, voire une pratique démonstrative, mais je m’égare à tes fesses, parce que Saint-Lazare en a plein le cul d’être réveillé tous les matins par le rapide de 5 heures 43, sauf pendant les week-ends et autres jours fériés ou de grève des cheminots, alors on lui fout la paix ce qui est une sacrée affaire en échange au Monopoly… et tout ça nous amène au terme de cette digression qui s’achève comme il se doit par le signe approprié de ponctuation et dont je vous ai entretenus plus haut quand vous n’aviez pas encore trop mal à la tête.) 

Bref, comme on ne dit pas du côté du club de foot d’Amsterdam, je voulais vous parler de mon ami Andy (même pas) Kap et de son blog dans ce message. Le blog d’Andy Kap n’est pas qu’annales (et pourtant chez canalblog, mais pourquoi tant de N ?!), comme l’indique son titre et le suggère le pictogramme figurant en haut de la page. En guise de « mise en bouche », et tant que le bouche à oreille ne se fait pas via les réceptacles auditifs inutilement encombrés par toutes sortes d’objets incongrus (de chantier) des malentendants évoqués plus haut, ce blog de Kap sera aussi oral, et un petit Kap oral peut parfois devenir un grand empereur s'il n’est pas manchot (et quand ça marche pour lui !). Ce n’est pas qu’un Kap, ce blog, c’est une péninsule ! Et si Kap t’y vend… n’importe quoi, on dira que Kap y tue le lecteur. Pas grave, Kap adosse ! Kap ôte ! Kap y tale, aussi. Et même si parfois, Kap est plus lent que Gilles, on dit pourtant que Sade est Kap ici !

En ce qui me concerne (je suis très bien entouré), je me révèlerai petit à petit. J’espère surtout (modestement) vous amuser et vous faire rire (sous Kap) à l’occasion et mon pote Andy également (quand il découvrira les textes avec lesquels je pollue son espace personnel dans la Virtualité).

Alors, je conclus pour l’instant car vous savez tous que quand Kap rit, c’est fini !

Eugène Touhapa
(pris d’Hervévilardomanie sur le tard)

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[1] Dans mon pays de résidence, la rhinoplastie – qui n’a rien à voir avec la fabrication à base de dérivés du pétrole d’hippopotames cornus – la plus courante consiste à se faire rallonger le nez (à la mode occidentale), c’est pour cela que je n’utilise plus "néanmoins" depuis que je vis au Pays du Sourire (également disponible verticalement), faudra vous y faire (de Lens ou ailleurs) !

[2] De lit, aurait écrit Frédéric Dard et peut-être même (sûrement !) est-ce déjà dans l’un de ses nombreux ouvrages, car je m’aperçois parfois avec effroi lorsque je le lis qu’il a souvent commis avant moi de nombreux jeux de mots et calembours (laids) ?